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TV - Page 2

  • Voyeurisme ?

    STRIP-TEASE

     

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    "Documentaires de (ré) création…

    Strip Tease est aujourd’hui reconnue comme l’une des meilleures émissions télévisuelles de ces 20 dernières années. L’initiative en revient au journaliste belge Marco Lamensh et au cameraman Jean Libon, aujourd’hui producteurs de l’émission. Las d’une information télévisée jugée bien souvent trop médiocre/insatisfaisante, ils créent Strip Tease en 1985. Héritière d’une longue tradition belge de cinéma direct, l’équipe se fixe alors pour tâche de décrire la société au travers de petits films très variés, évitant interviews et commentaires et privilégiant les rapports filmés entre les gens pour transcrire la réalité. Strip Tease se donne alors l’ambition d’être un magazine documentaire qui puisse intéresser les analphabètes et les professeurs d’université, séduire les jeunes comme leurs grands-parents, concerner la province autant que Paris. Petit à petit, Strip Tease tend donc à dresser un portrait kaléidoscopique de notre société au travers de petits documentaires très réalisés.Depuis ses débuts, le magazine qui déshabille la société compte à son actif plus de 700 films, et continue toujours à s’enrichir de nouveaux épisodes, chaque année, pour le plus grand plaisir du public fidèle à cette émission TV devenue culte. Strip Tease est diffusée en Belgique depuis 19 ans sur la première chaîne de la RTBF, et en France depuis 10 ans sur France 3. Et on ne compte plus les récompenses qui l’ont honorée…"


    D'après  le programme de ces jours-ci d'Utopia, le cinéma de l'utopie cinématographique où l'on peut voir des films comme Le Bon, la Brute et le Truand, La vie est belle, Wallace et Gromit, Requiem for a dream ou A scanner Darkly plus récemment et tout celà en V.O.. Mais il n'en existe seulement que quatre en France: un à Avignon, un à Bordeaux, un à Toulouse et un à Saint-Ouen.

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    La soucoupe et le perroquet

    Légende: "Maisooooooonnnnnnnn! Maisooooooooooooon!" ou "Y-a-t-il un pilote martien dans mon cerveau?"

     A noter l'excellent site de Strip-Tease avec vidéos à l'appui. Attention aux rires gargantuesques qui peuvent submerger le corps et l'esprit au détour d'une image de LA SOUCOUPE ET LE PERROQUET, AU PAYS DES MERVEILLES, LE PATRIOTE ILLUSTRE ou encore J’AURAI TA PEAU !

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     Au pays des Merveilles

     Légende: "Y-a-t-il une fenêtre dans mon eurdignateure?" ou "Merde, où est la croix rouge (pinponpin) ?".

  • Beautiful Losers

    J’aime ARTE et je le dis !

     

    Un très intéressant Tracks sur les Beautiful Losers…

     

    " Quel est le point commun entre cette horde de skaters du début des années 90, le peintre maudit Vincent Van Gogh, la tête brûlée des New York Dolls Johnny Thunders et l'incorrigible Pete Doherty ? Ils font tous parti de l'infâme tribu des "Beautiful Losers".

    Cette formule, c'est le nom d'une nouvelle de Leonard Cohen publiée en 66. Le poète canadien a 32 ans quand il imagine cette histoire écrite sous amphétamine. Mais déjà le mythe du perdant magnifique s'était propagé avec les hoboes dès les années 30. Ces travellers qui parcourent l'Amérique accrochés aux trains de marchandises inspireront La Beat Génération. Leur modèle à tous : Stagger Lee. En tuant en 1895 son partenaire de tripot, il devient le premier héros légendaire noir et insoumis. Archétype du beautiful loser, il inspire des centaines de chansons, et son fantôme hante les soulmen comme Ike Turner ou Sly Stone. Rebelles, les perdants magnifiques tirent leurs forces de leurs faiblesses. Vivant au jour le jour, contre-productifs, qu'ils soient punks ou surfers, ils font de la beautiful lose un art de vie.

     

    medium_32.jpgDans un monde où tout s'achète et tout se vend, les derniers hommes libres sont ceux qui n'ont pas peur de tout perdre. Navigant à l'instinct, ils prennent tous les risques, passent pour des fous ou de doux rêveurs. Mais au bout du compte ils se révèlent visionnaires et inventent le monde de demain. Pas de plan de carrière chez les beautiful losers: ce sont les vrais héros modernes.

     

    Héritiers de Stagger Lee ou de Robert Johnson, les héros du blues originel, fascinés comme Leonard Cohen par la Beat Generation de Kerouac ou de Burroughs, ou inspirés par les légendes déglinguées du Funk ou du Punk, de Sly Stone à Sid Vicious, les "perdants magnifiques" ont écrit quelques-unes des plus belles pages de la musique, de la littérature ou des arts plastiques. Aujourd'hui, ils s'appellent Pete Doherty, Mike Skinner, Sonic Youth ou Marilyn Manson: dans notre monde de plus en plus formaté, ces hors-cadre n'ont jamais été aussi nécessaires. "

     

    D’après http://www.arte-tv.com/fr/search__results/1228682.html

     

    A lire pêle-mêle : Sur la route de Jack Kerouac, Mémoires de l’enfer de Marilyn Manson.

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    Doriane Purple