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Doriane Purple - Page 15

  • L’homme à la barrette dorée

    Episode 1 (enfin IV...): la guerre des nouvelles étoiles 
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    Sensation de suavité fébrile, de culpabilité immense et fière. Contempler la Nouvelle Star sur M6 en dégustant un petit plateau repas salé-sucré avec une petite bière mousseuse, c’est comme de soutenir le regard d’une enfant vietnamienne brûlée et déchirée dans ses chairs et dans son sang par le napalm amer versé par le LSD qui brûle et déchire les entrailles d’un avion américain
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    J’en vomirais certainement si je me ralliais à cette bannière d'infamie. J’en vomis donc car c’est le cas malheureusement. Alors, suis-je devenu malgré moi un bon petit soldat de l’audimat écervelé ? Ça y est, je me suis fait piéger like a virgin effarouchée, fan d'Indochine, comme une petite Lolita nabokovienne à ces aphorismes dadaïstes. Mon prétexte, ma défense, ma revendication, ma faiblesse à ce massacre musical cathodique peu catholique : un grungy perdu dans ce radio-crochet télévisuel trop lissé et policé de ce jeudi 24 mai, pas Andy, pas Etienne, encore moins Destiné, mais Goldy Julien.
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    Perdu ? Pas tellement pour cet Extra-Terrestre qui ne demande pas à tout bout de chaNT de rentrer à sa maison. C’est un magnifique OVNI tombé dans le monde planifié et prépubère de M6, un Mars Attacks à lui tout seul : « Ne courez pas, je suis votre ami ! » répète-t-il, un micro à la main en guise de désintégrateur interstellaire.
     
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    C’est un déjanté cradingue à qui on a enfilé le costume moutonnier de la planète pailletée du little silver screen, mais qui demeure un loup hurlant.
     
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    Il reste l’inverse d’un brin de finesse dans ce monde de brutes. Faites du bruit ! Défoncez les portes ! Allumez le feu ! Brûlez tout !
     
    A côté de ce phénomène doré, les autres candidats semblent de bien mièvres gravures enfantines bien vieillottes d'un Gustave Doré: belles mais dépassées…
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    De ci, de là, des voix policées qui polissent Police ou qui serinent tels des sereins, se font entendre : du talent balbutiant certes, mais trop lissé, trop consensuel pour être sensuel. Pas du goldy birdy…
     
    Mais que vois-je dans le miroir déformant du petit écran? Je suis devenu une ménagère de moins de 50 ans fusillée par Drucker, s’empiffrant avec délectation par les yeux et les oreilles, de nourritures industrielles insipides et sirupeuses, échouée dans l'hôtel des coeurs brisés. Je m’électrise pour un aboyeur tatoué, bien que magnanime, addict à Jean d’Ormesson (personnage très fin et cultivé mais qui reste le bras droit d’un Figaro jouant des opéras wagnériens).
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    Le voltage est trop élevé: je disjoncte vraiment ! Le plomb transformé en or a fondu dans mon cerveau inondé de bières. Tant pis, tant que je disjoncte ! (par SMS : 0,5 euro / appel hors coût opérateur, of course !) Dig up Elvis ! Now ! Une voix grave d’ange démiurge hurle jusqu’aux cieux. Le grunge tracasse le prime. Interdit au moins de 13 ans (1994 of course !). Le grunge à barrette est né ! Après l’épingle à nourrice du punk, voilà la barrette du néo-grunge ! Au fait, ne serait-il pas plus judicieux d’enlever Disco du nom The Jean d’Ormesson Disco Suicide, et peut-être même aussi Jean d’Ormesson…
     
    Je zappe enfin à bout de souffle. Voici IAM qui se fourvoie doublement dans l’émission de Cauet et sur TF1. Il faut que j’arrête les bonbons acidulés suisses ! Voilà sur France3, un autre Claude qui, comme d’habitude, sur un ton allègre et professoral, sort son jargon scientifique pour faire son intéressant, pour expliquer sa théorie sur le réchauffement de la Terre à cause des flatulences du mammouth (heureusement Joël de Rosnay tempère ses propos et surfe sur ses erreurs). Sur France2, ça va de mal en pis: on nous présente les états d’âme de bleus en kaki, nouvellement engagés dans l’Armée de Terre. Il faut qu’ils arrêtent l’alcool ! C’est bientôt le couvre-feu ! Il n'y a plus que d'étranges étrangers dans la nuit sinatrash. Et mince, j’aurais dû regarder Arte ! Ouf ! Il y a Tracks ! Un spécial Pologne ! Sortons la vodka et renouons avec nos origines slaves pour un after ! Adieu le côté obscur de la ménagère de moins de 50 ans !
     
    Doriane Purple 

  • In Morrison we trust ?

     

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    Marion Robert Morrison - alias John Wayne - aurait eu 100 ans le 26 mai 2007.

    "Porte-drapeau de l'Amérique traditionnelle à l'écran, John Wayne militait pour les mêmes valeurs dans la vie. Mais cet homme, parfois rigide, savait aussi toucher le coeur de ses fans par sa vulnérabilité d'enfant mal-aimé.
    ZDF © BBC
     
    Honneur, courage, esprit d'entreprise, patriotisme, lutte contre le "Mal", toutes ces valeurs omniprésentes dans ses films se trouvaient aussi au coeur de sa vie. L'acteur a apporté ouvertement son soutien à des hommes politiques ultraconservateurs, de Barry Goldwater à Nixon et Reagan. À Hollywood même, il était un fervent militant anticommuniste et a présidé un temps la redoutable Movie picture alliance for the preservation of american ideals (en français, l'Alliance cinématographique pour la préservation des idéaux américains) dont le pouvoir de nuisance fut déterminant à l'époque du maccarthysme. Plus tard, il a participé aux campagnes de propagande en faveur de la guerre du Viêt-nam en intervenant dans les universités, face à des étudiants généralement hostiles à ce conflit. John Wayne visitait volontiers aussi les camps d'entraînement et les casernes de GI pour soutenir le moral des troupes. Donnant la parole aux fans comme aux détracteurs de John Wayne, ce documentaire, nourri d'archives et d'extraits de films, montre aussi que l'immense popularité de l'acteur ne s'explique pas uniquement par son adhésion sans réserves aux idéaux de l'Amérique conservatrice. Un autre versant de sa personnalité faisait écho aux doutes et aux peurs de nombre de ses admirateurs. Sous ses airs de dur, John Wayne cache un homme écorché vif, mal-aimé par sa mère, à laquelle il ne réussira jamais à prouver qu'il était un fils modèle. Il souffrira aussi de n'avoir jamais combattu les armes à la main pour défendre son pays."

    D' après Arte, émission du 20 mai 2007

    Cependant, John Wayne, symbole de l'Amérique pure et dure, fut une victime des dommages collatéraux engendrés par les essais nucléaires de l'armée américaine dans le désert du Névada durant les années 50. En effet, il mourut d'un cancer en 1979, comme la plupart des acteurs du film "Le conquérant", tourné en 1954 dans ces paysages morbides à juste titre, puisqu'exposés aux radiations nucléaires. Il est donc finalement et ironiquement mort pour sa patrie ...

     

    Doriane Purple 

  • Bâbâle...

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    "Pour le peintre norvégien Edvard Munch, angoissé et torturé, l'art a servi d'exutoire. Une rétrospective de ses œuvres, à Bâle, témoigne de l'enfer d'un génie obsédé par l'humain.
    On peut appréhender une œuvre au regard de l'histoire de l'art, mais aussi l'apprécier pour ce qu'elle exprime. Concernant les tableaux d'Edvard Munch (1863-1944) - prononcez «munk», comme en Norvège, son pays natal - la seconde approche semble la plus appropriée.

    Bien sûr, comme le montre la rétrospective de la Fondation Beyeler, à Bâle, en Suisse, son style s'inscrit dans une époque, évoluant d'une veine impressionniste aux prémices de l'expressionnisme, empruntant d'abord à Pissarro, puis à Whistler ou Böcklin, à Van Gogh ou Gauguin. Cependant, ses tableaux, qui lui valurent d'être qualifié de «barbouilleur», saisissent, avant tout, par leur intensité psychologique. S'appuyant sur l'expérience vécue, ils parcourent tous les degrés de l'échelle du mal-être. S'ils reflètent la personnalité torturée de leur auteur, ils atteignent aussi à l'universalité. Car ils parlent de l'âme...

    Le fameux Cri, sa toile la plus célèbre - dont le vol, en 2004, au musée d'Oslo, a défrayé la chronique, jusqu'à ce qu'on la retrouve en 2006 - n'est pas présenté. Mais les quelque 130 peintures, 85 dessins et gravures exposés mettent à nu l' «enfer intérieur» du peintre. Il faut dire que la vie ne l'a pas épargné. Elevé dans le puritanisme, Munch connaît très tôt le malheur. Sa mère meurt de tuberculose alors qu'il n'a que 5 ans; sa sœur aînée disparaît, pour les mêmes raisons, lorsqu'il en a 14. Et son père sombre dans la dépression.

    Munch convaincra ce dernier, qui le voyait ingénieur, de le laisser suivre des études artistiques. Ce sera son exutoire. L'esprit de révolte gagne le jeune homme dans les années 1880, à l'époque où il fréquente la bohème d'Oslo, qui prône l'anarchie, l'athéisme et une sexualité libérée. Alors se manifeste, dans sa peinture, son obsession de l'humain, que confortera sans doute la lecture de Strindberg et d'Ibsen. Sa peinture révèle, en tout cas, ses angoisses et ses peurs, qui sont aussi les nôtres, de la vie, de l'amour, de la solitude ou de la mort. La reconnaissance viendra au début du XXe siècle. De grandes rétrospectives lui seront consacrées à Oslo et à Berlin, à la fin des années 1920. Peu de temps après, les nazis confisquent 80 de ses tableaux, conservés dans les musées et les collections particulières d'Allemagne. Ils les exposent à leur tour, les livrant à la vindicte des cimaises, sous le qualificatif d' «art dégénéré». Et pourtant ils nous régénèrent...

    Edvard Munch, Fondation Beyeler, Bâle. Jusqu'au 15 juillet."

     
     
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    Si mon emploi du temps de futur père bis me laisse quelques latitudes en ce début juillet, j'irai admirer le spleen pictural de Munch en laissant couler sur les trottoirs-parkings de Bâle mes larmes et tout l'argent de mes poches déchirées.
     
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    Doriane Purple 
     

  • Joli mois de mai ?

     Une victime cachée de Mai-68 ?

    "Il faisait chaud, dimanche 29 avril à Bercy, et Nicolas Sarkozy transpirait beaucoup. LCI diffusait en direct les images du dernier grand meeting du candidat UMP. « Mai 1968 nous avait imposé le relativisme intellectuel et moral. Les héritiers de mai 1968 avaient imposé l'idée que tout se valait, qu'il n'y avait donc désormais aucune différence entre le bien et le mal, le vrai et le faux, le beau et le laid. Ils avaient cherché à faire croire qu'il ne pouvait exister aucune hiérarchie des valeurs. D'ailleurs, il n'y avait plus de valeurs, plus de hiérarchie. Il n'y avait plus rien du tout ! », disait-il. L'air est connu."

    D'après l'article titré "Une victime cachée de Mai-68" de Dominique Dhombres, paru dans LE MONDE du 2 mai 2007

    La chianlie gaulliste reviendrait-elle? Réponse ce soir à 20h00 pile... ou face...

     

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    D'après le Canard Enchaîné du 2 mai 2007

    Doriane Purple

     

     

  • Absara's dark side !

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    Vendredi 27 avril à 22h30: défilé de mode gothique par le studio de création "L'Absara", entre deux concerts métal dans cette excellente et conviviale salle de concert qu'est Les Passagers du Zinc.
    L'Absara nous filerait-il un mauvais coton ou montrerait-il son vrai visage macroéconomique sombre ? Le lion brûlé (par le sabre laser libéral, of course) a-t-il donc encore frappé? Suite prochainement dans la trilogie...
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    Doriane Purple 

  • In memory of…

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    "Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages,
    Dans la nuit éternelle emportés sans retour,
    Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges
    Jeter l'ancre un seul jour ?

    Ô lac ! l'année à peine a fini sa carrière,
    Et près des flots chéris qu'elle devait revoir,
    Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre
    Où tu la vis s'asseoir !

    Tu mugissais ainsi sous ces roches profondes,
    Ainsi tu te brisais sur leurs flancs déchirés,
    Ainsi le vent jetait l'écume de tes ondes
    Sur ses pieds adorés.

    Un soir, t'en souvient-il ? nous voguions en silence ;
    On n'entendait au loin, sur l'onde et sous les cieux,
    Que le bruit des rameurs qui frappaient en cadence
    Tes flots harmonieux.

    Tout à coup des accents inconnus à la terre
    Du rivage charmé frappèrent les échos ;
    Le flot fut attentif, et la voix qui m'est chère
    Laissa tomber ces mots :

    "Ô temps ! suspends ton vol, et vous, heures propices !
    Suspendez votre cours :
    Laissez-nous savourer les rapides délices
    Des plus beaux de nos jours !

    "Assez de malheureux ici-bas vous implorent,
    Coulez, coulez pour eux ;
    Prenez avec leurs jours les soins qui les dévorent ;
    Oubliez les heureux.

    Mais je demande en vain quelques moments encore,
    Le temps m'échappe et fuit ;
    Je dis à cette nuit : Sois plus lente ; et l'aurore
    Va dissiper la nuit.

    Aimons donc, aimons donc ! de l'heure fugitive,
    Hâtons-nous, jouissons !
    L'homme n'a point de port, le temps n'a point de rive ;
    Il coule, et nous passons !"

    Temps jaloux, se peut-il que ces moments d'ivresse,
    Où l'amour à longs flots nous verse le bonheur,
    S'envolent loin de nous de la même vitesse
    Que les jours de malheur ?

    Eh quoi ! n'en pourrons-nous fixer au moins la trace ?
    Quoi ! passés pour jamais ! quoi ! tout entiers perdus !
    Ce temps qui les donna, ce temps qui les efface,
    Ne nous les rendra plus !

    Eternité, néant, passé, sombres abîmes,
    Que faites-vous des jours que vous engloutissez ?
    Parlez : nous rendrez-vous ces extases sublimes
    Que vous nous ravissez ?

    Ô lac ! rochers muets ! grottes ! forêt obscure !
    Vous, que le temps épargne ou qu'il peut rajeunir,
    Gardez de cette nuit, gardez, belle nature,
    Au moins le souvenir !

    Qu'il soit dans ton repos, qu'il soit dans tes orages,
    Beau lac, et dans l'aspect de tes riants coteaux,
    Et dans ces noirs sapins, et dans ces rocs sauvages
    Qui pendent sur tes eaux.

    Qu'il soit dans le zéphyr qui frémit et qui passe,
    Dans les bruits de tes bords par tes bords répétés,
    Dans l'astre au front d'argent qui blanchit ta surface
    De ses molles clartés.

    Que le vent qui gémit, le roseau qui soupire,
    Que les parfums légers de ton air embaumé,
    Que tout ce qu'on entend, l'on voit ou l'on respire,
    Tout dise : Ils ont aimé ! "

    "Le Lac" – Lamartine

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    "And I was lost for words
    In your arms
    Attempting to make sense
    Of my aching heart
    If I could just be
    Everything and everyone to you
    This life would just be so easy

    Not enough time for all
    That I want for you
    Not enough time for every kiss
    And every touch and all the nights
    I wanna be inside you

    We will make time stop
    For the two of us
    Make time stop
    And listen for our sighs

    Not enough time for all
    That I want for you
    Not enough time for every kiss
    And every touch and all the nights
    I wanna be inside you

    In our fight against the end
    Making love we are immortal
    We are the last two left on earth
    And I was lost for words
    In your arms
    Attempting to make sense of
    My aching heart
    If I could just be everything
    And everyone to you

    Not enough time for all
    That I want for you
    Not enough time for every kiss
    Not enough time for all my love
    Not enough time for every touch

    Not enough time for all
    That I want for you
    Not enough time for every kiss
    And every touch and all the nights
    I wanna be inside you"

    "Not enough time" – INXS

    "Ô temps ! suspends ton vol, et vous, heures propices !
    Suspendez votre cours
    Laissez-nous savourer les rapides délices
    Des plus beaux de nos jours !"

    " We will make time stop
    For the two of us
    Make time stop
    And listen for our sighs"

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     Not enough time… Pas assez de temps…

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    Que reste-t-il de nous sinon ma silhouette décharnée et sombre, perdue dans ce désert d’hommes, rempli des grains acides du souvenir ? Mes larmes amères coulent et s’évaporent dès qu’elles explosent sur le sol surchauffé, absorbées par la moiteur étouffante qui altère ce sol sablonneux désespérément sec. L’âpreté de l’orange amère des sables devient encore plus poignante, saisissante, face aux vapeurs âcres de mes pleurs. Le présent ne se concentre-t-il pas qu’en une ruine totale du passé ? Au bout de cette ombre infirme et infinie qui semble me définir, n’y a t-il pas enfin l’ombre d’un horizon d’avenir hypothétique ? Plus je marche vers cette ligne réellement imaginaire, et plus je m’enfonce dans le désert de mon passé, sans pour autant en percevoir la fin. Les cendres de Toi m’entourent, m’emmitouflent,  m’enlacent, m’enferment et m’étouffent tout autant. Not enough time… Quand la jeunesse nous sourit, nous n’avons pas assez de temps pour surmonter nos faiblesses timides pour aller vers l’Autre; quand la vieillesse nous trahit et nous prend de ses doigts crochus, nous crions avec désespoir que nous n’avons plus le temps pour surmonter nos faiblesses passées ! Il est déjà trop tard. "Tic tac" hurle l’horloge !
     
    Not enough time for all
    That I want for you
    Not enough time for every kiss
    Not enough time for all my love
    Not enough time for every touch
    Nous resterons des intouchables à travers le temps…
    Tic tac… Pan !
     
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    Larmes amères de la souvenance… Suicide blonde...
    Welcome to wherever you are...

    Doriane Purple

     

  • Vote utile...

    Avril 2002... Remember !

     

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     Pour que l'urne électorale ne devienne pas funéraire!

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    L'Amour est peut-être aveugle mais la Mort n'est-Elle pas borgne?

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    Doriane Purple 

     

  • Elections d'avril...

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    Arte nous propose un vote citoyen sur Tracks.

     

  • Patchwork musical

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