Bonbons amers...
Doriane Purple
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Doriane Purple
Marion Robert Morrison - alias John Wayne - aurait eu 100 ans le 26 mai 2007.
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D' après Arte, émission du 20 mai 2007
Cependant, John Wayne, symbole de l'Amérique pure et dure, fut une victime des dommages collatéraux engendrés par les essais nucléaires de l'armée américaine dans le désert du Névada durant les années 50. En effet, il mourut d'un cancer en 1979, comme la plupart des acteurs du film "Le conquérant", tourné en 1954 dans ces paysages morbides à juste titre, puisqu'exposés aux radiations nucléaires. Il est donc finalement et ironiquement mort pour sa patrie ...
Doriane Purple
Une victime cachée de Mai-68 ?
"Il faisait chaud, dimanche 29 avril à Bercy, et Nicolas Sarkozy transpirait beaucoup. LCI diffusait en direct les images du dernier grand meeting du candidat UMP. « Mai 1968 nous avait imposé le relativisme intellectuel et moral. Les héritiers de mai 1968 avaient imposé l'idée que tout se valait, qu'il n'y avait donc désormais aucune différence entre le bien et le mal, le vrai et le faux, le beau et le laid. Ils avaient cherché à faire croire qu'il ne pouvait exister aucune hiérarchie des valeurs. D'ailleurs, il n'y avait plus de valeurs, plus de hiérarchie. Il n'y avait plus rien du tout ! », disait-il. L'air est connu."
D'après l'article titré "Une victime cachée de Mai-68" de Dominique Dhombres, paru dans LE MONDE du 2 mai 2007
La chianlie gaulliste reviendrait-elle? Réponse ce soir à 20h00 pile... ou face...
D'après le Canard Enchaîné du 2 mai 2007
Doriane Purple
"Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages,
Dans la nuit éternelle emportés sans retour,
Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges
Jeter l'ancre un seul jour ?
Ô lac ! l'année à peine a fini sa carrière,
Et près des flots chéris qu'elle devait revoir,
Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre
Où tu la vis s'asseoir !
Tu mugissais ainsi sous ces roches profondes,
Ainsi tu te brisais sur leurs flancs déchirés,
Ainsi le vent jetait l'écume de tes ondes
Sur ses pieds adorés.
Un soir, t'en souvient-il ? nous voguions en silence ;
On n'entendait au loin, sur l'onde et sous les cieux,
Que le bruit des rameurs qui frappaient en cadence
Tes flots harmonieux.
Tout à coup des accents inconnus à la terre
Du rivage charmé frappèrent les échos ;
Le flot fut attentif, et la voix qui m'est chère
Laissa tomber ces mots :
"Ô temps ! suspends ton vol, et vous, heures propices !
Suspendez votre cours :
Laissez-nous savourer les rapides délices
Des plus beaux de nos jours !
"Assez de malheureux ici-bas vous implorent,
Coulez, coulez pour eux ;
Prenez avec leurs jours les soins qui les dévorent ;
Oubliez les heureux.
Mais je demande en vain quelques moments encore,
Le temps m'échappe et fuit ;
Je dis à cette nuit : Sois plus lente ; et l'aurore
Va dissiper la nuit.
Aimons donc, aimons donc ! de l'heure fugitive,
Hâtons-nous, jouissons !
L'homme n'a point de port, le temps n'a point de rive ;
Il coule, et nous passons !"
Temps jaloux, se peut-il que ces moments d'ivresse,
Où l'amour à longs flots nous verse le bonheur,
S'envolent loin de nous de la même vitesse
Que les jours de malheur ?
Eh quoi ! n'en pourrons-nous fixer au moins la trace ?
Quoi ! passés pour jamais ! quoi ! tout entiers perdus !
Ce temps qui les donna, ce temps qui les efface,
Ne nous les rendra plus !
Eternité, néant, passé, sombres abîmes,
Que faites-vous des jours que vous engloutissez ?
Parlez : nous rendrez-vous ces extases sublimes
Que vous nous ravissez ?
Ô lac ! rochers muets ! grottes ! forêt obscure !
Vous, que le temps épargne ou qu'il peut rajeunir,
Gardez de cette nuit, gardez, belle nature,
Au moins le souvenir !
Qu'il soit dans ton repos, qu'il soit dans tes orages,
Beau lac, et dans l'aspect de tes riants coteaux,
Et dans ces noirs sapins, et dans ces rocs sauvages
Qui pendent sur tes eaux.
Qu'il soit dans le zéphyr qui frémit et qui passe,
Dans les bruits de tes bords par tes bords répétés,
Dans l'astre au front d'argent qui blanchit ta surface
De ses molles clartés.
Que le vent qui gémit, le roseau qui soupire,
Que les parfums légers de ton air embaumé,
Que tout ce qu'on entend, l'on voit ou l'on respire,
Tout dise : Ils ont aimé ! "
"Le Lac" – Lamartine
"And I was lost for words
In your arms
Attempting to make sense
Of my aching heart
If I could just be
Everything and everyone to you
This life would just be so easy
Not enough time for all
That I want for you
Not enough time for every kiss
And every touch and all the nights
I wanna be inside you
We will make time stop
For the two of us
Make time stop
And listen for our sighs
Not enough time for all
That I want for you
Not enough time for every kiss
And every touch and all the nights
I wanna be inside you
In our fight against the end
Making love we are immortal
We are the last two left on earth
And I was lost for words
In your arms
Attempting to make sense of
My aching heart
If I could just be everything
And everyone to you
Not enough time for all
That I want for you
Not enough time for every kiss
Not enough time for all my love
Not enough time for every touch
Not enough time for all
That I want for you
Not enough time for every kiss
And every touch and all the nights
I wanna be inside you"
"Not enough time" – INXS
"Ô temps ! suspends ton vol, et vous, heures propices !
Suspendez votre cours
Laissez-nous savourer les rapides délices
Des plus beaux de nos jours !"
" We will make time stop
For the two of us
Make time stop
And listen for our sighs"
Not enough time… Pas assez de temps…
Avril 2002... Remember !
Pour que l'urne électorale ne devienne pas funéraire!
L'Amour est peut-être aveugle mais la Mort n'est-Elle pas borgne?
Doriane Purple
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