Résurrection éphémère...

RATM renaît de ses cendres pour quelques concerts sur le territoire américain...
Ayant perdu ma rage contre la machine, deviendrai-je alors sans coup férir un esclave auditif dans le jardin des sons ?
Doriane Purple
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
RATM renaît de ses cendres pour quelques concerts sur le territoire américain...
Ayant perdu ma rage contre la machine, deviendrai-je alors sans coup férir un esclave auditif dans le jardin des sons ?
Doriane Purple
FFF ? Qu'est-ce que ça veut dire ? Les Fantastic Four ? Non, ce sont les FF. La Fédération Française de Football ? Presque... le nombre satanique 666 codé en lettre, le F étant la 6e lettre de l'alphabet latin ? En effet, il y a du Devil in Me ... Ce n'est autre que le regretté groupe FFF, la Fédération Française de Fonck.
D'après France5
Pour le pire et le meilleur de l'Eurovision ?
Doriane Purple
Quel est le point commun entre les deux derniers articles Mais que fait la Police? et Pêle-mêle moderniste... libéral et peu... ?
Roxanne hante les nuits érotiques des seventies... Depuis les eighties, plus aucun message, la bouteille n'ayant échoué sur aucune plage musicale... 1977: trente ans déjà!...
Souvenirs métalliques d’odeurs insanes saturées d’huile. Patchwork nauséeux de couleurs grises sulfurées. Tristes mines d’esclaves de la modernité triomphante. Cols bleus refermé sur la froidure mordante et la maigreur équivoque de l’avenir incertain. Ballet ubuesque de cols blancs frénétiques aux yeux exorbités, à l’affût, et au cœur arraché pour le sacrifice rituel de la toute puissante Entreprise. Réunionite aiguë, infatuée, inféconde. Course effrénée des objectifs, des chiffres, des bilans, des prospectives, des productivités, des parts de marché, des bénéfices, des statistiques, des calculs, des graphiques, des compétitivités, des timings, des projets, des rapports d’activité, des audits internes, des listings, des pré-projets, des premières, des kiloWatts, des tournées, des programmes de production, des produits, des emballages, des concepts de design, des avancées ergonomiques, des services, des filiales, des pièces, des usinages, des emboutissages, des moulages, des pigmentations, des dossiers, des téléphones criards, des flux tendus, des cahiers des charges, des coûts, des délais, des qualités, des normes, des gammes, des marketings, des marques, des marges, des mesures, des contraintes, des concurrents, des performances, des résultats financiers, des modèles, des avant-projets, des volumes prévisionnels, des conceptions, des planifications, des estimations, des innovations, des études, des cibles, des contrats, des ventes, des équipes, des logistiques, des développements, des prototypes, des fabrications, des industrialisations, des productions, des certifications, des cadences, des commercialisations, des montages, des stocks, des livraisons, des juste à temps, des commandes, des approvisionnements, des gestions, des soudures, des maintenances… des technologies, des logiciels de CAO, des plans, des lignes, des segments, des outils, des engrenages, des mécaniques, des machines, des robots… Mais quelle place reste-t-il à l’Homme dans ce maelström artificiel ? N’est-il plus qu’un outil jetable, qu’un client fragile et corrompu ? Bien sûr mon point de vue est terriblement subjectif, mais quel point de vue est totalement dénué d’intérêts et purement objectif ?
C'est comme retrouver des copains de lycée qu'on n'a pas vus depuis longtemps. On est tout d'abord timide, puis on échange quelques banalités et au bout de cinq minutes, on sait si la vie nous a séparés définitivement ou si la connivence enfouie dans les cendres du temps peut raviver de nouveau le feu de l'amitié passée. C'est ce qui s'est passé avec les Spin Doctors (rien à voir avec les tout puissants conseillers en communication américains) perdus dans ma mémoire musicale depuis mes années de lycée et qui ont rejailli au détour d'un bac ... de disques. L'entente s'est réétablie tout de suite. Mêmes mélodies chaloupées, mêmes slides de guitares savoureux, même voix sucrée et délirante. Un vrai bonheur pour les oreilles, quoi.
Nice talking to you, Spin Doctors.
Doriane Purple
"I’m not in the business, I am the business !" dixit Rachel...
"Un monument sur pellicule qui, par son histoire et ses coulisses, est aussi riche d’enseignements sur l’industrie cinématographique, la création artistique et la manière de fabriquer des films à Hollywood. Il fascine encore les trentenaires cinéphiles, un peu mutants, que sont devenus les jeunes ados qui l’ont découvert au cinéma. Pour beaucoup, Ridley Scott et Blade Runner leur ont impressionné les rétines et fait aimer le cinéma. Les autres, grâce à l’avènement de la vidéocassette, l’ont fait passer du statut de bide commercial à sa sortie, à celui de film culte. [...]
Blade Runner dans son montage original étant désormais introuvable, cette « fausse » director’s cut (puisque faite quelque peu dans le dos de son réalisateur), bien qu’elle gomme certains défauts des précédentes éditions annonce surtout pour 2007 la vraie version du film induite par le réalisateur."
D’après Thomas Douineau, auteur d'un très long et très bon dossier sur le film.
En attendant la future sortie en salle et en DVD de Blade Runner : The Ultimate Edition avec les 4 versions du film avec des suppléments conséquents, faisons des origami à la manière innovante d' Elie Semoun ou tapotons (bien fort) sur notre futuriste Origami, ami.
Doriane Purple